domingo, 21 de março de 2010

FLÉAU DANS L'ESPACE: Interview avec Valérie Mangin


Elle est une jeune scénariste avec beaucoup de talent. Son Bande Dessinée avec dessinateur Aleksa Gajic, LE FLÉAU DE DIEUX, est publiée dans Brésil pour DEVIR EDITORA et est un fantastic travaille d'art et texte.

Alors, mes amies, pour la première tour pour le publique brésiliéne, Valérie Mangin...

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OCTAVIO ARAGÃO: Pour commencer, Valérie, cette est - je crois - votre premiére interview pour les lecteurs du Brésil... nous avons commencer pour une "petite resumée". Comme vous avez initiée votre carriére avec les Bandes Dessinées?

VALÉRIE MANGIN: Oui, c'est ma première interview destinée aux lecteurs brésiliens. Ça me fait très plaisir. Je dois dire que c'est une sensation étrange et excitante en même de penser que l'on lit le Fléau à l'autre bout du monde!

En fait j'en suis venue à faire carrière dans la Bande dessinée un peu par hasard. Je suis une grande fan de BD depuis très longtemps mais je ne pensais pas franchir le pas et devenir auteur. J'ai une formation d'historienne et je devais en toute logique devenir conservatrice ou professeur. Seulement voilà, en 1998, j'ai rencontré Denis Bajram dont je suis devenue la compagne.

À l’époque il commençait UW1 et avait le projet d’adapter l’histoire d’Attila dans l’espace pour un jeune dessinateur serbe, Aleksa Gajic. Je devais juste lui fournir la documentation puisque c’était un sujet que je connaissais bien. Mais, UW1 lui prenait beaucoup de temps et de fil en aiguille je suis devenue sa co-scénairiste.
Nous avons commencé à travailler avec Aleksa mais la guerre ONU-Serbie a coupé court à notre collaboration. Internet ne fonctionnait plus et nous avons perdu tout contact avec Aleksa pendant plus de 8 moins.

Pendant ce temps, Denis s'était définitivement tourné vers sa propre série de science-fiction et moi j'avais pris goût au scénario. Il m'a donc abandonné l'histoire d'Attila et je l'ai entièrement remaniée à mon idée. Quand nous avons retrouvé Aleksa, j'avais finalisé le projet. Il était d'accord pour travailler uniquement avec moi et Soleil était d'accord pour nous éditer.
C'était parti ! :-)

OA: Je crois que "Le Fleu des Dieux" est basée dans une idée de votre mari, Denis Bajran. Comme vous avez croiée l’universe de cette séries? Vous avez prenez la vie d’Attila et racontez l’histoire sur une ambience de Science Fiction ou c’est ça une autre alternative plus complexe?

VM: Ça été plus complexe. Sans dévoiler le dénouement de la série, je peux dire qu'elle ne raconte pas juste l'histoire d'"Attila dans l'espace". Bien sûr, ceci est le point de départ, je me suis donc basée sur mes connaissances du dernier siècle de l'empire romain et de la biographie d'Attila pour bâtir l'intrigue apparente du Fléau (la lutte du roi hun Attila contre le Romain Flavius Aetius) et pour créer l'Orbis, mon empire romain galactique. Après j'ai laissé libre cours à mon imagination pour répondre à des questions du genre: et si les Romains avaient eu des vaisseaux spatiaux, qu'est-ce que ça aurait changé ? Et si les Huns pouvaient s'attaquer à des planètes entières ? etc.
Ça a été la partie la plus amusante. Enfin, j'ai essayé de trouver un sens à tout cela. Comment, pourquoi l'histoire pourrait-elle se rejouer? Réponse à la fin de la série.



OA: Comme est votre travaille avec dissinateur Aleksa Gaijic? Comme
est l'industrie BD aujourd'hui?


VM: Aleksa et moi travaillons par internet. Je lui envoie mon scénario, un découpage dialogué à la case. En général, il est d'accord avec lui et passe directement au crayonné de la page sinon évidemment nous en discutons par mail. Nous parlons aussi du crayonné puis de la réalisation finale dont Aleksa m'envoie toujours le scan. Quand nous sommes tous les deux contents, les pages partent de Belgrade pour Toulon dans le sud de la France où se trouve Soleil.

Nous avons la chance d'avoir un éditeur qui intervient très peu sur notre travail et nous laisse une liberté quasiment entière. L'industrie BD a été très florissante ces dernières années. Jamais on a publié autant d'albums. Cela a facilité la publication de livres de nouveaux auteurs comme nous. Mais certains craignent que cela ne déclenche à terme une grave crise de surproduction. "Alea jacta est" comme disait César.


OA: Vous avez participée de les projets de votre mari aussi? Je peau dire que UNIVERSAL WAR I, de Denis Bajran, est une grand livre... Vous avez quelque participatión sur la confección? Et vous avez autre travailles avec lui?

VM: En fait, Denis est juste intervenu au début de l'élaboration du Fléau. Il n'y a bien que l'idée "Attila dans l'espace" qui soit encore de lui dans la mouture finale.
De mon côté, je ne suis absolument pour rien dans UW1: Denis avait entièrement écrit le synopsis avant qu'on se rencontre. Depuis, je n'ai fait que lettrer les bulles. Bien sûr comme nous travaillons dans la même pièce à la maison, il nous arrive souvent de discuter de nos travaux respectifs mais cela ne va pas plus loin. Nous hésitons beaucoup à travailler ensemble sur le même projet : mêler vie privée et vie professionnelle n'est pas toujours une bonne idée. :-)



OA: Et sur le future? Que est-ce son les proxaine projets?

VM: Aleksa et mois sommes en train de terminer le tome 4 du Fléau, celui où Attila et Flavia? non rassurez-vous je ne vous raconterai pas ce qu'ils deviennent dans la suite de la série. :-)

Parallèlement, j'ai commencé une autre histoire d'antiquité spatiale : "Le Dernier Troyen". Le héros, Énée, va parcourir l'espace en quête de la planËte où aura lieu la Refondation de Rome, après la chute de sa propre planète, Troie, face aux Grecs d'Ulysse. Ce sera moins historique et plus mythique que le Fléau, dans l'esprit d'Homère (Odyssée) et de Virgile (Énéide). Ce sera dessiné par un jeune dessinateur: Thierry Demarez.

Enfin, j'ai écrit un conte fantastique sans rapport avec la science-fiction : "Petit Miracle". Dessiné par Griffo, ce sont les aventures dramatiques d'un enfant né la tête séparée du corps en 1767 à Paris. Tout le monde ou presque le prend pour un démon et il doit apprendre à faire face à la cruauté des "gens normaux".

OA: Merci beaucoup, Valérie! Et congratulations pour le fantastique travaille!

3 comentários:

CG disse...

enseignant, s'il vous plaît , traduit en portugais, mon français est faible rsrs
Abço mestre Octa!

Octavio Aragão disse...

Opa, espero que perdoe meu francês de quinta. Jamais traduzo minhas entrevistas porque me considero um tradutor canhestro e receio alterar o teor dos depoimentos.

Mas ainda assim, obrigado pela participação, SCG.

Leonardo Peixoto disse...

Parece que não teremos traduções de suas entrevistas , mas sua justificativa é valida .
Aproveito o espaço para me desculpar caso tenha se chateado com comentários meus que não combinam com os artigos .